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Agir Pour Relever le Défi vous propose ici des articles de blog, en lien avec notre philosophie de la Gestion de Crise.

13 janv., 2023
Aucune application ou logiciel ne peut remplacer l'humain pendant la gestion de crise
08 déc., 2022
Tout peut changer avec une nouvelle et simple habitude
28 nov., 2022
Effet tunnel et zone de confort ou le syndrome de l’expert
21 nov., 2022
La deuxième pathologie fréquemment rencontrée dans la cadre d’une gestion de crise (qu’elle soit dans le cadre professionnel et/ou personnel) est la suivante : la gestion de crise orale versus la gestion de crise visuelle. Quand un évènement survient, nous l’évoquons en premier lieu avec des mots. À l’énoncé de ces mots, nous ne pouvons pas affirmer avec certitude que la compréhension soit élevée et que l’interprétation ait déjà fait son œuvre. La vision d’un problème ne se limite pas à voir une photo. Elle est déjà un moment figé tout autant assujetti à l’interprétation. La vision d’un problème consiste à afficher devant soi ou devant tous les membres d’une équipe la granularité de l’évènement pour en comprendre la réalité et surtout la véritable sévérité. Un évènement est toujours une histoire (il ne peut y en avoir qu’une seule) composée de faits confirmés (ou non), d’impacts immédiats et potentiels, de parties prenantes impliquées, impactées et à informer. Le tout permettant à partir de cette vision pratique de formaliser un plan d’action. Lorsque nous entendons un problème, nous l’interprétons dans le sens qui nous convient. Quand nous visualisons la réalité de l’évènement, nous pouvons ainsi mieux l’analyser, le comprendre et surtout l’accepter. À partir de maintenant, au lieu de réfléchir à votre problème, dessinez-le et vous verrez que tout vous paraîtra plus clair pour prendre les décisions qui s’imposent et qui se résument à une question : qu’est-ce que l’on attend de vous ?
par Lilian Laugerat 21 nov., 2022
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04 nov., 2022
La première des pathologies est de ne pas considérer un évènement comme une crise alors que toutes les caractéristiques sont déjà réunies. Le mot CRISE est alors décliné selon l'acronyme suivant : - C oupable en aucun cas : tout ce qui a été dit est faux et n’est que diffamation - R ejet de la faute sur les autres, des entités internes ou externes - I njustice, car tout a été fait selon les règles et les normes établies, contrôles à l’appui - S olutions et actions proposées en total décalage avec les attentes des parties prenantes - E mpathie absente envers les parties prenantes impactées et excuses tardives. Pour les individus, les entités, les organisations qui ont suivi cet acronyme en partie ou en totalité, le décalage entre les attentes en période de crise et les réponses données (quand elles existent) est si important que seule une conduite de changement brutale permettra de gérer les conséquences de leur inaction.
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